Douceur contée : Le vilain petit canard

Résonance de conte : « Le vilain petit canard »

L’exil (exilés de ce que nous sommes vraiment), la différence, à la recherche du bon endroit, des bonnes personnes,…, pour pouvoir rencontrer qui nous sommes.

A partir des blessures il est difficile de reconnaître, de croire en notre nature profonde.

Il y aura une bénédiction de notre blessure d’exclusion si nous poursuivons notre quête de ce que nous sommes.

Par les choix que nous faisons nous pouvons être amenés à vivre l’exclusion, le rejet (symbole de l’enfant dans le conte).

Peut-on se renier soi même pour entrer dans le moule ? Il s’agit de bouger, d’aller dans le mouvement pour ne pas geler dans la glace, poursuivre sa quête (le chemin de notre âme, de notre coeur) sans oublier ce que nous sommes, et trouver sa vraie famille d’appartenance.

Se relier à nouveau au signe que nous sommes.

Comment se ressent-on avoir été un vilain petit canard ?

Quelle mère en nous prend soin de nos créations ?

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