Douceur contée : la femme squelette

Les contes nous relient à notre richesse intérieure.

Les clés de la résonance :

Renaissance, retour à la vie partant de la mort. La mort peut être bienveillante. Le cycle : des choses meurent pour que d’autres naissent. Changer son regard.

C’est une histoire d’amour avec toutes les parties de nous même.

Quelque chose peut nous être donné par surprise. Les trésors que nous allons pêcher dans les eaux de notre inconscient ont souvent un aspect qui nous fait peur.

Ce que nous sommes profondément cherche à nous rencontrer.

Avec le regard d’une mère bienveillante, à partir du coeur, dans une écoute ouverte, désenchevêtrer avec douceur, remettre de l’ordre : que devons-nous lâcher ? Quelle partie de nous même nous pouvons laisser mourir ? Alors vient un sommeil bienfaisant parce que tout est à sa place.

Nous sommes tous des rêveurs. Dans nos rêves se manifestent des désirs inassouvis, de la tristesse, et s’écoulent des larmes comme un élixir de vie.

Le chant ramène la vie. La douceur du chant qui appelle les parties de nous même qui veulent renaître. Revenir dans une intégrité.

Après le chemin intérieur parcouru dans l’instant nous pouvons renaître.

Se réconcilier avec la mort, l’impermanence. La mort est notre capacité à régénérer les choses.

Une invitation à aller regarder les parts de nous même, s’asseoir près d’elles à la lueur de notre compassion, en étant ouverts à notre ressenti.

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