Les fourmis sont parties
laissant en plan
le monde vide plein
d’informations insipides
d’être regardées par personne.
L’espace reprend sa place
vaste étendue absorbant
le reflet des pensées saturées
et vides.
Retourné dans l’espace essentiel
le trop-plein laisse alors place
à l’arc-en-ciel.
14 avril 2020 at 10 h 04 min
Encore un appel du grand large…bien que l’espace encombré reste de l’espace…
12 octobre 2020 at 11 h 04 min
un appel au vide qui est plein ,
a la solitude au milieu des bruits
à l’essentiel que je cherche .
Merci