Les fourmis sont parties

laissant en plan

le monde vide plein

d’informations insipides

d’être regardées par personne.

L’espace reprend sa place

vaste étendue absorbant

le reflet des pensées saturées

et vides.

Retourné dans l’espace essentiel

le trop-plein laisse alors place

à l’arc-en-ciel.