Préparer un bon environnement pour méditer
S’entraîner dans la position assise pour pouvoir ensuite emmener cette expérience dans la vie quotidienne
Poser un temps de suspension afin de ne pas se laisser entraîner dans la réactivité
Sans jugement sur soi-même, sans tension supplémentaire que l’on s’imposerait
Se réaligner (corps-coeur-esprit), se ré-accorder, se ré-harmoniser
Ni trop tendu, ni trop relâché doit être l’instrument de musique, de même le méditant.
Bien poser le corps, libre et relâché,
Un environnement favorisant la méditation : ni trop frais (favorisant l’agitation) ni trop chaud (induisant la torpeur)
Le lien entre le corps et l’esprit : la respiration, support subtil et naturel pour poser son esprit
Respiration et émotions sont liées : elles se conditionnent mutuellement.
Comment, et d’où respirons-nous ?
Contacter la respiration abdominale qui peut dénouer les tensions
En ralentissant et respirant mieux, corps et psyché s’apaisent, se synchronisent.
Les
cycles de respiration empêchent de partir dans les pensée et on un
effet sur le cœur, la tension artérielle, le corps en général, y compris
l’activité cérébrale.
Si l’esprit s’est égaré, revenir au fil de la respiration, au fil de la conscience, sans analyser.
– Un type de respiration : inspir – rétention – expir – rétention,
– Autre type de respiration : alterner les narines : boucher narine gauche, inspir et expir puis droite, etc.
–
Enfin, inspiré du satipatthana sutra et enseigné par le moine Thich
Nhath Hanh : quand j’inspire je sais que j’inspire le calme, la paix,
quand j’expire, je sais que j’expire le stress, l’agitation, etc.
Méditation guidée :
Fermer les yeux un moment, les rouvrir doucement, puis laisser le regard mi-ouvert : focus et diffus à la fois.
Ressentir les effets de la respiration qui a précédé la méditation.
La respiration devient profonde, lente, naturellement, tout notre corps respire
Contacter l’espace…
Chaque expérience est différente.