Douceur contée : l’ours au croissant de lune

Il y a l’événementiel, l’existentiel (les résonances et émotions suscitées par les événements), et il y a la nature de ce que nous sommes, au delà de tout cela : le ressenti de la présence, de l’espace que nous sommes.
De la méditation à la non-méditation : ne pas rester attaché aux formes, qui engendrent souffrance et mal-être du fait même qu’elles peuvent changer. Comment les vivre sans y être identifié.
Embarquement pour un voyage, reçu avec notre cœur : l’écoute du conte : « l’ours au croissant de lune », comme un bol ouvert. Se laisser imprégner, toucher par le conte. Entendre sa dimension symbolique.

Résonances

Tous les personnages sont en nous, mais nous ne sommes pas toujours en lien avec chacun.La persévérance et la patience, l’amour envers chaque partie de nous-même.On ne peut pas ramener la situation passée par un effet magique (l’impermanence)Le lien avec la nature, la gratitude envers le paysage que l’on traverse : « arigato » (merci) La part guérisseuse aussi est en nous, et l’ours représente cette part de nous-même qui est en colère, qui fait peur. Allons au bout de notre part sauvage, et sachons l’apprivoiser
Archétype de la vieille femme, la sage, celle qui sait.L’enseignement : les choses ne peuvent redevenir comme avant. C’est une illusion.
La guérison, c’est tout le chemin parcouru, les qualités que l’on a développées pour y parvenir (la qualité d’amour qui pousse à faire pour l’autre, à se dépasser). Il n’est besoin que de les mettre en application maintenant.C’est cela le secret : la présence ! l’espace aimant peut tout inclure, accueillir les parties blessées de soi. Rencontrer ses émotions en ouvrant l’espaceDe l’amour conditionné à l’amour inconditionnel

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