Douceur contée : La broderie

Résonance de conte : La broderie

Fermer les yeux dans l’espace ouvert dans une conscience éclairée.

Se poser et observer les pensées, les sensations, les images, les sons, qui viennent dans ce monde intérieur qui est le notre. Observation bienveillante dans le sens « veiller bien ». Accueillir sans chercher à rien changer c’est ça la bienveillance. Veiller à chaque grain, ce n’est pas l’indifférence.

Dans cet instant la notion de temps disparaît, c’est pourquoi c’est parfait. Nous sommes au-delà du temps, et des temps, pleinement à l’écoute.

Se laisser ainsi dans la résonance, des images, des moments, des rythmes du conte. C’est une écoute réceptive, une écoute avec toute l’attention du monde à l’instant. Tous les personnages du conte sont des parties de nous même.

Le conte est comme un rêve, un voyage à l’intérieur de nous même. Il nous parle de notre paysage intérieur. Cela ouvre le champ de notre créativité, de toutes nos inspirations. Au-delà du champ humain.

Se laisser enchanter par tout ce que nous entendons.

Lâcher l’attachement au passé, lâcher ce qui a été « fée » (fait).

Nous ne pouvons pas accomplir un rêve si nous ne sommes pas déjà imprégné de notre propre énergie.

Comment peut s’incarner notre rêve ? Comment passer de l’image à la réalité ?

La fascination des formes (le diable dans les contes) peut nous amener à oublier notre inspiration profonde.

Intégrer la « violence », la dépasser, en faire de l’énergie au service du désir, du rêve.

Quand le rêve devient réalité.

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